Vous trouverez ici des présentations succintes d'organisations qui s'intéressent à la non-violence.
Créée en 2002, c’est une association populaire, rassemblant des gens de tous âges, de toutes origines et de toutes convictions. Elle souhaite, sur cette base, être un outil au service de la Corse, des enjeux locaux, mais aussi des enjeux transversaux tels que l’éducation, la culture, la santé, l’environnement... L’AFC a pris le parti de la non-violence et développe un réseau d’artisans de non-violence, forme les citoyens à la culture de non-violence, forme des formateurs, organise des rencontres, conférences, etc.
L’âge de faire témoigne des expériences alternatives en matière de réappropriation de l’économie, de création de lien social, d’écologie et d’engagement citoyen. Son credo : offrir à ses lecteurs des outils qui leur permettront de mettre en œuvre leurs idées. Il tire à 30 000 exemplaires, est distribué au niveau national et compte près de 11 000 abonnés.
Cette association se consacre, en lien avec Médiane Non-violence, à la production et à la diffusion de films documentaires pour promouvoir une non-violence libératrice et créatrice de rapports humains différents. Parmi les films, Anandwan, la forêt joyeuse, Lanza del Vasto, Les colombes de l’ombre, La désobéissance civile (2005), La marche des gueux (2008), Misère de misère, Sarvodaya Sharamadana, vers une économie non-violente (2010).
C’est une association autonome mais proche de l’association Arche de Lanza del Vasto, a pour but de favoriser toutes les initiatives, formations et expériences qui vont dans le sens de l’étude et de la mise en pratique de la non-violence. Ses thèmes d’action sont la lutte contre le nucléaire militaire et civil, le commerce des armes conventionnelles, les OGM et le brevetage du vivant, l’action pour le droit à la terre et la souveraineté alimentaire, etc.
Centre de recherche qui diffuse de précieuses informations et études sur les questions de défense et de sécurité. Son site sur la Toile permet de trouver des dossiers d'actualité et des données complètes sur les ventes d'armes, le nucléaire militaire, les mines antipersonnelles, l'actualité des conflits, etc.
Précédemment appelée Mouvement pour la Terre et l’humanisme, c’est une plate-forme de rencontre et d’échange initié en 2006 par Pierre Rabhi et quelques proches. Le mouvement s’adresse à tous ceux qui veulent agir, cherchent des solutions concrètes ou développent des alternatives. La dynamique Transformons nos territoires a pour objet d’inciter et aider les gens à se réapproprier leur pouvoir de transformer leurs territoires en les invitant à prendre le temps de connaître leurs voisins, à agir là où ils sont, en coordonnant plus efficacement leurs efforts, en mangeant et agissant localement tout en pensant et agissant globalement. Les Colibris soutiennent le mouvement des Villes et communautés en transition (Transition Towns).
L’objectif de cette association est le soutien aux organisations de droits humains et au mouvement social et indigène guatémaltèques dans leurs efforts pour construire un État de droit dans le cadre d’une démocratie participative. Le Collectif envoie des accompagnateurs internationaux qui assurent, par leur présence dissuasive, une protection auprès des populations et des militants de la société civile menacés et des témoins des communautés indigènes ayant déposé plainte contre des crimes.
Collectif d’associations engagées dans la solidarité internationale et dans le domaine de la non-violence. Depuis 1997, son action vise à promouvoir l’ICP dans le but de parvenir à sa reconnaissance officielle et à son utilisation comme un outil courant de la régulation des conflits. Le Comité ICP mène différentes actions de sensibilisation au niveau national, et se positionne dans un réseau européen dont l’objectif est la promotion du service civil de paix sous toutes ses formes, dont l’intervention civile de paix.
La Coordination promeut des initiatives dans le cadre de la résolution de l'ONU pour une "Décennie internationale de la promotion d'une culture de non-violence et de paix au profit des enfants du monde". Son site sur la Toile permet d’accéder à de nombreux documents de réflexion sur l’éducation à la non-violence à l’école.
Projet associatif pour promouvoir une culture de non-violence. C’est un lieu d’accueil pour l’échange, le conseil et l’accompagnement de projets. Il offre un éventail de nombreux outils de réflexion, d’animation et des ressources documentaires de près de 3000 ouvrages, DVD, archives d’actualités, jeux coopératifs et malles pédagogiques. Il propose un programme de formation à la non-violence et à la transformation constructive des conflits pour les particuliers et les professionnels.
Ce collectif s’est formé pour apporter son aide, ses conseils et ses compétences à tous ceux qui veulent défendre le bien commun contre les logiques de profit, de domination ou d’exclusion. Il regroupe des militants altermondialistes et des simples citoyens engagés, partisans de l’action directe non-violente qui dénoncent et combattent, par la désobéissance civile, les lois, les pouvoirs, les politiques et pratiques injustes. Ils sont ou soutiennent les faucheurs d’OGM, les recouvreurs de panneaux publicitaires, les clowns activistes, les dégonfleurs de 4x4 de ville, les inspecteurs citoyens de sites nucléaires, les intermittents du spectacle, les activistes écologistes, les hébergeurs de sans-papiers, les travailleurs en grève pour leurs droits, les altermondialistes, les partisans de la décroissance, etc.
Centre de recherche, de formation et d'éducation à la paix. Agit par la création d'outils et d'animations pédagogiques.
La FÈVE participe à la recherche d’une société non-violente basée sur la justice et la paix, au travers d’une formation de deux ans sur un lieu de vie communautaire, l’Arche de Saint-Antoine, dans la cadre de l’Arche de Lanza del Vasto. L’objectif principal est de proposer un bagage de formation et d’expérimentation solide à des personnes de 22 à 35 ans en recherche sur leur avenir, qui souhaitent participer à des projets comportant le vivre ensemble et la non-violence.
Association française soucieuse de montrer l’actualité de la pensée de Gandhi face aux immenses défis contemporains. Elle tisse un réseau international d’organisations agissant par la non-violence en vue d’un changement sociétal. Elle soutient notamment le projet du mouvement indien Ekta Parishad.
Depuis 1993, l'association Génération Médiateurs mène un travail de prévention contre la violence dont les jeunes sont souvent les auteurs, les témoins ou les victimes. La formation consiste à former à la gestion des conflits des éducateurs, des enseignants, des surveillants, des infirmières scolaires, des animateurs de centres de loisirs, des assistantes sociales, des parents d'élèves, etc. en les faisant passer par les étapes qu'ils feront ensuite eux-mêmes franchir aux jeunes dont ils auront la responsabilité. Génération Médiateurs est agrée par l'Éducation Nationale.
L’IECCC développe une Approche et transformation constructives des conflits, à travers l’accompagnement de personnes et de groupes, la formation ou des missions de conseil en organisation, en France et en Allemagne notamment. Objectifs : diminuer la violence, améliorer les relations interpersonnelles, renforcer l’efficacité collective.
Créé en 1989, l'IFMAN est spécialisé dans la formation à la régulation non-violente des conflits et propose une démarche qui lie l'éthique et l'expérimentation pratique, les connaissances théoriques et les solutions concrètes. L’IFMAN intervient partout en France avec des formations professionnelles qui accueillent surtout des travailleurs sociaux, des enseignants et des animateurs de l’éducation populaire.
Cette association est destinée à favoriser l’échange de ressources au service de la construction de la paix. Son site capitalise et valorise le savoir-faire d’artisans de paix du monde entier en vue de permettre à des acteurs en situation d’y trouver un cadre de réflexion et des expériences concrètes qui les aident dans leur propre stratégie de maintien ou de construction de la paix.
Cette association a pour but la formation des jeunes à la non-violence par l’organisation de camps de jeunes, chantiers, échanges internationaux, stages de formation, séminaires, accueil et envoi de jeunes du service volontaire européen, festivals, interventions dans les établissements scolaires, actions sociales, formations, le développement d’un réseau international pour la résolution de conflits par la non-violence et toute activité qui contribue à l’éducation pour la paix et à la défense de l' environnement. Son objectif est de renforcer une culture de paix par l’éducation en donnant les moyens aux jeunes d’apprendre à résoudre les conflits par la non-violence.
L’association MédiActeurs met à la disposition des jeunes et de leurs éducateurs une expérience de près de vingt ans de médiation par les pairs et propose en ligne son livre.
Cette association qui travaille avec l’association Shanti regroupe des créatifs dans différents domaines artistiques et de l’audiovisuel engagés pour la non-violence (présentations de spectacles, œuvres et films disponibles sur ce site).
Le MIR est la branche française d’une organisation appelée l’IFOR : International Fellowship of Reconciliation. Créé en 1923, MIR travaille à la promotion de la justice et de la paix par la non-violence active, au dialogue et à la réconciliation entre les peuples et les religions.
Spécialisé dans la prévention des violences de proximité (famille, école, quartier, vie sociale et professionnelle…), NVA est un centre de ressources sur la gestion non-violente des relations et des conflits. NVA a pour objectif de répondre aux demandes des particuliers et des institutions en recherche de documentation, d’outils, de contacts ou de formations, sur les compétences relationnelles et sociales : la communication, l'écoute, la gestion des conflits, la médiation, l'action non-violente, la coopération…
Organisme non-gouvernemental qui défend les droits humains, facilite la résolution non-violente des conflits dans plusieurs régions du monde et promeut l’intervention civile de paix.
Politis est un hebdomadaire fondé en 1988 par une équipe de journalistes que rassemblaient les préoccupations environnementales et une sensibilité aux combats de la gauche de la gauche.
Derrière Politis, pas de marchand de canons, pas d’avionneur, pas de richissime héritier. Pas non plus de parti politique. Politis ne vit que par et pour ses lecteurs. Engagé, mais ouvert au débat, Politis est un journal humaniste, qui a la passion de comprendre l’autre et refuse l’idéologie du « choc des civilisations ». Depuis toujours, Politis dénonce les injustices sociales et ouvre des pistes pour plus de solidarité entre les hommes.
Le « quotidien de l’écologie » veut proposer des informations claires et pertinentes sur l’écologie dans toutes ses dimensions, ainsi qu’un espace de tribunes pour réfléchir et débattre. Dans toutes ses dimensions signifie que pour nous, l’écologie est politique, et ne peut se réduire à des questions de nature et de pollution - même si nous suivons attentivement ces questions vitales. L’écologie engage le destin commun, engage l’avenir, sa situation découle largement des rapports sociaux : c’est donc bien une écologie politique et sociale que Reporterre présente et discute. Il entend aussi relayer toutes les initiatives qui montrent que les alternatives au système dominant sont possibles et réalistes.
La revue Silence est publiée depuis 1982, sans publicité, par une association indépendante de tout autre mouvement. Elle traite de sujets de société (non-violence, décroissance, féminisme, relations Nord-Sud) et de l’environnement (agriculture, énergie, santé, etc.). Elle privilégie une approche transversale des thèmes traités chaque mois en proposant de réelles alternatives.
Ce site a été initié en 2004 par Jacques Sémelin, Directeur de recherche au Centre d’Etudes et de Recherches Internationales (CERI), et une équipe d'universitaires internationaux, avec l’aide de l’Institut d’Études Politiques de Paris (« Sciences Po ») et du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS). Il est consacré aux violences de masse (génocides, massacres, épurations) et aux moyens de les prévenir.
Depuis 2013, Agir pour la Paix est le nouveau nom qui réunit les deux associations que sont le MIR-IRG et Action pour la Paix. Agir pour la Paix retrouve une nouvelle dynamique qui réunit deux générations de militants pacifistes qui ont pour objectif central une résolution des conflits nationaux et internationaux sans violence et sans la menace d’y recourir.
Ce Centre basé à Lausanne a pour but de promouvoir la non-violence active en Suisse romande. Il dispose d’une documentation importante. Le CENAC propose des formations à la régulation non-violente des conflits, des conférences, des expositions, etc.
Le Centre de ressources sur la non-violence est un organisme sans but lucratif fondé en 1988. L’objectif est d’entretenir et de développer un lieu de recherche, d’action et d’éducation sur les thèmes touchant la non-violence et les dossiers d’actualité que nous suivons de près. Par leur action, le Centre et ses membres veulent s’insérer dans la mobilisation mondiale actuelle et participer à la lutte pour une société plus juste et plus respectueuse des êtres humains et de l’environnement.
Ce réseau est ouvert aux organisations indépendantes et aux individus des pays européens. L’objectif est de proposer un support moral, politique et financier aux mouvements sociaux qui assistent les personnes les plus démunies en leur offrant un contrôle sur leurs moyens de subsistance : eau, terres et forêts. Plus spécifiquement, Ekta Europe soutient Ekta Parishad en Inde qui travaille pour le renforcement des personnes démunies à travers une action non-violente pour le changement, inspirée des méthodes gandhiennes.
Cette association a son siège à Ziguinchor, ville de Casamance au Sénégal et une antenne en France, à Sens. Elle a pour vision d'éduquer les enfants et les jeunes sans distinction aucune de race, de religion et de sexe, à la non-violence active, de leur donner des outils pour la résolution non-violente de tous leurs conflits, de sensibiliser la société et les populations sur les méfaits de la violence comme moyen de résolution de conflits, de promouvoir la non-violence active dans la société pour son respect de la vie, de la dignité de l'homme et pour son ouverture à la communication et au dialogue.
Le Centre international pour un conflit non-violent promeut la stratégie non-violente dans la régulation des conflits. Il forme et soutient des activistes et des leaders engagés dans des luttes non-violentes au niveau international.
Cet institut sensibilise les individus et les communautés à la non-violence afin de mettre en pratique la vision gandhienne. Il travaille notamment avec des adolescents et des jeunes adultes avec des programmes d’éducation à la non-violence : communication non-violente, médiation, approches restauratives…
NP est une ONG internationale qui déploie des équipes de terrain composées de civils de diverses nationalités et bien entraînés, pour agir dans des zones de conflits violents. Elle intervient seulement sur requête des organisations locales, ou plus récemment de l’ONU (au Sud Soudan). Elle utilise des stratégies non-violentes pour assurer le protection des populations et des défenseurs des droits de l’homme, en dissuadant les actes de violence et en aidant à créer un espace pour que les acteurs locaux de la société civile puissent faire leur travail.
Fondé en 1976, le RCNV est un centre de ressource qui promeut la transformation sociale par la non-violence. Il soutient notamment le renforcement des capacités des activistes non-violents.
Centre de documentation à Namur est un lieu de formation sur la communication sans violence, les relations humaines régulées avec non-violence, l’estime de soi, etc.
L'Internationale des Résistant(e)s à la Guerre (IRG) œuvre pour un monde sans guerre. C’est un réseau mondial pacifiste et antimilitariste qui comprend plus de 80 associations partenaires dans 40 pays.